Réflexions philosophiques sur l'IA, l'ART et la VISION
L'art de l'IA, c'est la liberté, pas le code
La plupart d'entre nous aiment décorer leurs murs avec des peintures. Il est possible d'accrocher au mur des tableaux achetés dans une galerie d'art, mais lorsque le budget du ménage ne le permet pas, nous devons nous contenter d'une peinture.
Les images d'AI ART VISION - surréalistes, palpitantes, insaisissables - ne sont pas fabriquées à la machine. Le terme "IA" pourrait effrontément suggérer le contraire, mais laissons cette idée de côté. Derrière ces images se tient un homme de chair et de sang, porteur de 65 ans d'expériences de vie singulières et inimitables. Un homme né et élevé dans un socialisme surréaliste et absurde qui l'a profondément marqué, mais qui ne s'est jamais laissé enfermer dans une cage. Et Ai ? Ce n'est qu'un outil - comme un pinceau, comme du charbon.
La beauté naît des cicatrices
La vie d'un artiste est rarement un conte de fées. La sienne, c'est le moins que l'on puisse dire, a été quelque peu mouvementée dès le départ. Né dans la pauvreté, il a grandi dans son étroite étreinte. Dès l'école primaire, son esprit vif a perçu les absurdités du système, et sa défiance l'a poussé dans une lutte futile pour la survie. Pour le système, un individu est une épine dans le pied et il tente par tous les moyens de redresser son esprit "impérial" et épris de liberté. Six années passées dans des maisons de correction et des prisons ont jalonné son parcours. Lorsque vous regardez ses images, sachez qu'il ne s'agit pas de pixels, mais de l'histoire de sa détermination inébranlable.